Très souvent, le terme défiscalisation fait penser à annulation d’impôt. Mais quant est-il réellement ? En effet, plusieurs autres paramètres et conditions sont à prendre en compte avant de parler de défiscalisation. Voici les points essayer à connaître sur la défiscalisation.
C’est quoi la défiscalisation ?
La défiscalisation fait référence à une manœuvre légale visant à réduire ou à complètement supprimer les impôts d’un individu. Le principe est de l’amener à investir dans des secteurs où dispositifs énoncés dans le code général des impôts. Par cela, il peut jouir de réductions ou même d’exonérations de certains impôts. On parle alors d’allégements fiscaux. Ceux-ci s’effectuent sur l’impôt le plus élevé (l’impôt français). Vous pouvez lire l’article suivant pour en savoir plus sur cet impôt français.
Les bénéfices de la défiscalisation
La défiscalisation profite tant au contribuable qu’à l’Etat. Pour le premier, elle permet d’alléger le poids de l’impôt en le réduisant ou carrément en le supprimant. L’État en tire également de nombreux avantages. Ainsi, par ce dispositif, les particuliers sont incités à investir en France dans des secteurs clés. Par cela, l’État arrivera concentrer ses propres investissement dans d’autres secteur (éducation, santé, etc.). De cette façon, l’État parvient à centrer et à focaliser les investissements en France. Par ailleurs, c’est un moyen de créer de l’emploi et de la richesse, ce qui favorise l’impôt français.
Qui est concerné par la défiscalisation ?
La défiscalisation concerne tous les contribuables français et non seulement les plus fortunés comme on le pense. Aussi, certaines de nos dépenses courantes sont peuvent également être éligibles. Il s’agit :
• De dons aux associations
• D’aides à domicile (garde d’enfant et d’animaux, aide aux devoirs, entretien de la maison, entretien du jardin et du jardin, etc)
• Des travaux d’économie énergétique (comme dans le cadre de rénovation ou de transition énergétique)
• De télétravail
• D’équipements pour handicapés ou senior