La masturbation est un phénomène observé chez les humains. Elle consiste à se satisfaire sexuellement. Ce geste est considéré par les uns comme une pratique malsaine, tandis que d’autres y trouvent le moyen d’améliorer leur santé. Quels sont les avantages et inconvénients de la masturbation ? En voici la réponse.
La masturbation : une pratique pour mieux se connaître
La masturbation est un phénomène tout à fait normal qui n’a pas de conséquence directe sur la santé. Sa fréquence est variable selon les individus. Pendant que d’autres le font plusieurs fois par jour, d’autres ne le font qu’une fois. Les rapports sexuels ne sont donc pas le seul moyen de se procurer du plaisir. La masturbation permet de gérer plus facilement ses désirs sexuels. Certains pensent que l’autosatisfaction sexuelle modifie la taille et la forme du pénis. Il n’en est rien, car la taille permanente de l’organe sexuel est obtenue après la puberté. C’est aussi important de savoir comment se branler.
Contrairement à ce que pourrait penser un grand nombre de personnes, elle aide plutôt à mieux se connaître sexuellement. La masturbation est une attitude saine lorsqu’elle est orientée dans la recherche de plaisir. Autrement, elle pourrait constituer une source de dépendance réalisée par nécessité.
Quelques inconvénients de la masturbation
Si la masturbation peut être une source de plaisir incommensurable, il est peut-être tant de s’interroger sur ses possibles impacts sur la santé d’un individu. Il est déjà évoqué que cela n’affecte ni la taille ni la forme du pénis. En revanche, se masturber un peu trop fréquemment peut provoquer une diminution de la quantité et de la qualité du sperme. Pour que le fluide du sperme soit complet, il faut environ trois jours.
Par conséquent, se masturber chaque jour réduirait non seulement la quantité produite, mais aussi la quantité de sperme. À cette étape, le sperme devient blanc et moins riche à chaque fois. Cet effet est plus marqué selon que l’âge évolue. Avec le temps, le pénis peut se ramollir en raison de la diminution des facteurs qui favorisent sa rigidité.